Gnawa: gli argonauti africani e l’Arpa divina
REDNILO
C’est une histoire qui commence à Casablanca vers 1998 quand j’ai rencontré Aali Wica à Artcom. Une amitié fraternelle avec un artiste multidisciplinaire hors du commun. Dans un autre lieu spazio temporel, plus d’une décennie après, avec mon nouvel ami italien, Danilo, qui n’avait jamais visité l’Afrique ou le Maroc, je luis fis rencontrer Aali Wica et tout trois on est partis vers le Sud. D’abord Marrakech et le fernachi (four traditionnel de quartier qui alimente par son charbon le Hammam agjacent). Notre point commun, recherche d’authenticité et de langage au delà du verbal. Se désintoxiquer de notre pollution européenne et de la frénésie sonore et humaine dans laquelle on est implanté.
Autre dix ans après avec Danilo on a désormais visiter d’autres pays et jouer des milliers de kilomètres de scènes ensemble mais on avait toujours le gout d’un souvenir essentiel. Celui de Zagora avec Aali Wica. Des archives vidéos, en témoignent. Rednilo est le fruit de ce trip, humain, spirituel. Une genèse des sens.
Artwork de @aaliwica 2025.
Artwork de @aaliwica 2025.
Antirazine o la letteratura maranza
Mio contributo sulla « Poesia dallo Yemen: arte di guerra e di pace. » pubblicato su Poesia, musica e dissenso materiali dal Premio Dubito 2023. Agenzia X.
https://www.ibs.it/generazione-di-pentole-a-pressione-libro-disturbati-altri/e/9791281438231
https://www.agenziax.it/generazione-pentole-pressione
L’arte della razzializzazione
Esercizi per pratiche artistiche decoloniali all’interno del progetto « il razzismo è una brutta storia »
Traces de « la révolte des Males » à Rio –
« Actes de révolte » – nom de l’exposition Histoire occultée puis dépoussiérée du Brésil à l’occasion du bicentenaire de l’indépendance du Portugal (ami commun au Maroc ;). Au sein de l’immense MAM de Rio de Janeiro @mam.rio donnant sur la baie de Guanabara face Atlantique sur l’Afrique occidentale. Route de la traite. Parmi la multitude d’objets, tableaux, sculptures et autres installations, un simple livret, un manuscrit, un talisman ( طلسم) avec une calligraphie arabe protégé par une couverture en cuir, attire mon regard non lusophone.
Les Malês seraient ce les maliens? Ces musulmans africains mis en esclavage par les portugais, amenés à travailler à l’autre bout du monde au nord du nouvel Empire du Brésil, plus précisément à Salvador Bahia et devenu guerriers par nécessité? Il semblerait que l’appellation viendrait des Yoruba qui constituaient la majorité des musulmans du Brésil à l’époque. Ces talismans portent des extraits de versets du Coran et des prières, une pratique qu’on retrouve encore aujourd’hui même en Afrique et dans la diaspora (il m’est arrivé de voir des plus ou moins anciens africains de l’Ouest ou même du Nord, lire dans le métro parisien par ex. Ou sur le train en Italie.
« La révolte des Malês » est rentrée d’abord dans la légende populaire des luttes d’indépendance des populations noirs sans avoir un réel écho mondiale et a inspiré certes les luttes anti coloniales brésiliennes mais aussi africaines.
Je ne peux ne pas y voir, les « anciens combattants » pour la France. 14-18 , 39-45. Et de 45 jusqu’au 60’ voir même les 70’ pour les colonies portugaise en Afrique, pendant les luttes anti coloniales modernes. Et qui sait, vu l’air actuelle, aucun révolutionnaire actuellement au Mali, au Niger ou au Burkina Fasso contre l’hégémonie suprématiste blanche sur l’Afrique.
Décembre 2022.
ps. Nel video, girato con i piedi, appare ad una certa, la giovane Amal maranZINa che, nella pure tradizione Malês, si appropria dei tamburo rituali e scatena la groove dentro l’istituzione museale brasiliana, manco fossimo a Pizza Verdi di Bologna.
#RevoltaDosMalês
#LutteDécoloniale
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